Dans le cadre de ses conférences pédagogiques, le Campus Caraïbéen des Arts recevra la Arlette PACQUIT, journaliste et réalisatrice .
L’événement aura lieu le lundi 16 décembre 2024 de 13h à 15h à l’amphithéâtre Hélène Sellaye (Campus de Schoelcher – Université des Antilles, Faculté Jean-Bernabé, ).
Le titre de la rencontre est : « Le kréyol c’est l’image »
Trois diplômés du CCA : Flavio Délice, Shamika Germain, Samuel Gélas sont actuellement à Venise dans le cadre d’une exposition intitulée “Noutoupatou, Mondes caribéens en mouvement“. Elle réalisée avec le soutien de l’institut français et de la Direction des affaires culturelles de Martinique.
L’exposition “Noutoupatou, Mondes caribéens en mouvement” est curatée par Paola Lavra, enseignante au CCA, en collaboration avec May Clémenté, directrice de la galerie-école de l’établissement. Cet événement a lieu parallèlement à la 60e édition de la Biennale d’art de Venise au sein de laquelle, l’artiste martiniquais Julien Creuzet, représente la France.
Ce projet représente un tremplin unique pour ces trois jeunes diplômés et il vise à révéler les talents de la scène artistique caribéenne à l’échelle internationale. Il s’inscrit donc dans le cadre des missions du Campus Caraïbéen des Arts.
L’exposition “Noutoupatou, Mondes caribéens en mouvement” est visible jusqu’au 18 janvier 2025 à la galerie A plus A située à Venise en Italie.
Dans le cadre de ses conférences pédagogiques, le Campus Caraïbéen des Arts recevra le metteur en scène et artiste peintre Jean-Erns Marie-Louise au Teyat Otonom Mawon (TOM).
L’événement aura lieu le lundi 18 novembre 2024 de 13h à 15h.
Le titre de la rencontre est : « Autour de l’idée »
Dans le cadre de la XXIII Cerveira international Art Biennial – Vila Nova Cerveira Portugal, la candidature du CCA a été retenue pour l’édition de l’EuroFabrique Art Camp 2024 qui s’est tenue du 24 au 27 septembre 2024.
Ainsi, trois étudiants encadrés par Yannick Verrès (enseignant référent) et Hervé Beuze, y ont vu leur investissement récompensé ; il s’agit d’Indira Vasseaux (3OA), d’Andy Jeanne-Rose (3DO) et de Lenny Dozine (3OA).
Nous avons recueilli quelques témoignages que nous vous proposons de consulter ci-dessous :
Andy Jeanne-Rose – 3 DO
Nous avons eu diverses conférences avec des activistes, des artistes ou plus encore des designers. Pour ce séjour, le grand thème était « L’Europe de demain », on pouvait ressentir que dans tous les projets, la notion du patrimoine était bien présente. L’objectif était néanmoins de pouvoir produire avec des personnes qui ne proviennent pas de notre université, alors de ce fait, nous avons tous étés mélanger et nous avons formés des groupes de production. […] dans mon groupe, nous avions une vision plutôt axée sur l’écologie et le patrimoine naturel. Nous avons discuté afin de mettre en place une ligne directrice avant de nous lancer sur nos productions. […] Cela m’a permis de mettre en avant des situations qu’il y a en Martinique, car quand on parle d’Europe on ne voit probablement pas que les Outre-mer en font partie. […] il est toujours bien de pouvoir échanger des idées avec des personnes issues d’un autre environnement que le nôtre.
Indira Vasseaux – 3 OA
[…] L’Eurofabrique Art Camp nous a mélangés selon nos centres d’intérêt et nos pratiques personnelles. La semaine a débuté avec des visites de lieux, des rencontres avec des artistes et designers. La Biennale de Cerveira se tenait durant notre séjour et nous avons découvert des expositions collectives dans ce cadre. […] En discutant avec les étudiants conviés, je me suis rendu compte que la plupart sont avant tout des concepteurs avec une pratique plastique plus limitée. Le plus challengeant pour moi a été le travail en groupe avec des étudiants qui n’ont pas évolué dans le même environnement que moi. Il est vrai que ce fut très enrichissant de partager des points de vue et cultures très différents. J’ai dû apprendre à faire des concessions et compromis pour favoriser le travail en groupe. Je pense que mon point de vue leur a été très enrichissant, dans la mesure où les Outre-mer ont un rapport à l’Europe différent de celui des pays du continent. […] J’ai pris conscience de l’importance de notre présence en tant qu’artistes ou designers Ultramarins. […].
Lenny Dozine – 3 OA
Durant l’EuroFabrique, nous devions confronter nos visions selon le thème de “L’Europe de demain” et ses défis actuels : […] sur le sujet de la cohésion européenne, des ateliers au cours desquels nous avons présenté nos projets respectifs avec des échanges envisageant des axes d’étude. Nous y avons découvert la culture et l’art culinaire portugais lors des expéditions dans la région de Cerveira. La période d’étude et de pratique plastique s’est terminée par une séance de synthèse où les étudiants ont partagé leurs impressions et présentations entre participants, suivie d’une rencontre finale avec un public. […] La clôture de l’événement a été l’occasion d’un retour collectif sur les apprentissages et très positif, notamment sur ma part de travail constituée d’images de la culture antillaise, associées à une mise en avant de notre situation sociale. Nous avons pu établir des contacts pour de potentielles collaborations. Ma vision a changé sur bien des aspects et été renforcée sur l’envie d’une ouverture à l’international.
Bien organisé, l’événement a offert un cadre permettant des échanges et la création d’un réseau. La diversité des participants et la pertinence des thématiques abordées ont également enrichi notre expérience. Le temps nous a manqué pour découvrir d’autres pratiques artistiques et davantage explorer le partage d’expériences. Ma participation à EuroFabrique a été riche en réflexion et je repars avec une conscientisation de la valeur de mon travail et de ma culture.
Yannick Verrès – enseignant accompagnateur / EuroFabrique Cerveira Pt.
Enseignant accompagnateur des étudiants à l’EuroFabrique 2024 – Cerveira Art Camp, Portugal.
En tant qu’enseignant accompagnateur, je suis très satisfait de la participation de nos 3 étudiants à l’Art Camp de Cerveira. Nous avons bénéficié d’une organisation efficace et d’un riche programme de visites et d’interventions.
Cela nous a permis de nous confronter à d’autres approches et méthodologies ; par ailleurs, nos étudiants ont réalisé pendant cette expérience qu’ils étaient très bien formés. Ils sont à la fois de bon concepteurs mais également de bons praticiens, capables de pratiquer plusieurs médiums (la photographie, la sculpture, le dessin, la sérigraphie…) ce qui n’était pas le cas pour toutes les écoles représentées.
Nous avons pu améliorer notre anglais, notre relationnel à travers le travail d’équipe et pour ma part, créer du lien avec des partenaires potentiels.
Pour toutes ces raisons, ce voyage a été très formateur et inspirant.
Images à la une de l’article ; crédit photo : Eurofrabrique
Yaël LE GALL (4ème année, 2023 – 2024) – mobilité à l’EnsAD Paris.
Mon séjour d’étude à Paris,
Comment cette période du deuxième semestre de ma quatrième année d’études en Art a constitué une étape significative dans mon parcours académique et personnel ?
« J’ai eu l’opportunité de réaliser un séjour d’étude en plein cœur de la Capitale de France connue pour sa riche et longue histoire, sa culture parisienne et sa contribution au monde artistique. J’ai durant ces quatre mois été accueilli par l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (ENSAD), l’une des institutions les plus prestigieuses au monde dans le domaine des arts et du design. […] il faut savoir que j’ai choisi de réaliser ce déplacement du Campus Caribéen des Arts de la Martinique à l’ENSAD en raison de sa réputation internationale et de la qualité de ses programmes académiques. Mon objectif principal était d’approfondir mes connaissances en arts décoratifs, en fonderie, en sculpture et de bénéficier d’un environnement d’étude stimulant, propice à la créativité et à l’innovation. […] Dans ce sens Paris, avec son patrimoine culturel et son foisonnement artistique exceptionnel, représentait de mon point de vue le cadre fondamental du développement de mon personnage. La formation transversale offerte par l’école était je le crois aussi, le challenge que je voulais me procurer pour nourrir mon ambition de travail sur les représentations des monstres de la Martinique et des légendes de ma terre natale, la Guyane […].
Pour devenir Papillon la Chenille doit même, contre sa volonté savoir patienter dans le cocon.
[…] Ce séjour d’étude m’a permis d’acquérir de nombreuses compétences et connaissances en volume, sculpture, peinture à l’huile, couture de sac, Blender 3D et sur moi, grâce à la performance. J’ai également amélioré ma capacité de mémorisation et de communication orale.
Mon séjour à l’ENSAD de Paris a été une expérience extrêmement enrichissante. Certains moments étaient bons, d’autres non, mais c’est ce qui teste mon allégeance et ma sympathie pour la France, la Guyane et la Martinique. Je n’oublierai pas l’Art et les gens que je n’aurais pu trouver ailleurs. Je recommande vivement cette expérience à d’autres étudiants (mentalement forts, capables de s’adapter, intelligents, patients, mais qui ne se laissent pas marcher sur les mains et) désireux de découvrir de nouvelles perspectives afin d’enrichir leur parcours artistique. »
Mon expérience au BulkBar Bruxelles, en Belgique, a été extrêmement positive. Au cours des quatre derniers mois, j’ai beaucoup appris et j’ai pu mieux définir mon projet de carrière. Je m’engage désormais à poursuivre mes études pour devenir consultant et stratège de marque. […] Cette expérience m’a appris l’importance d’être organisée et de m’adapter aux différentes personnalités que j’ai rencontrées sur le lieu de travail. L’une de mes principales motivations était d’aider BulkBar à élever à la fois son histoire et son image. Je crois fermement que toute marque ou entreprise qui souhaite prospérer doit avoir une identité de marque cohérente et une histoire convaincante pour attirer les clients.
Quand je suis arrivée, BulkBar n’était qu’un mot-symbole et un produit. Je suis fier de dire qu’après mon départ, ils ont désormais une compréhension plus complète de ce qu’est BulkBar et une vision de ce qu’il pourrait devenir dans le futur. […] Travailler dans l’espace de coworking m’a permis de rencontrer des professionnels avec qui j’ai pu être à la fois productif et authentique.
Avant de me lancer dans ma mobilité Erasmus, j’étais anxieuse et dubitative quant à mon avenir. Maintenant que je rentre chez moi, je suis pleine d’espoir et motivée.
Les compétences que j’ai acquises vont au-delà des seules capacités techniques et je pense que je porterai cette expérience avec moi pour le reste de ma vie. Dans l’ensemble, je suis reconnaissante d’avoir l’opportunité de participer à ce voyage. Je recommande fortement à tout étudiant ou jeune de postuler pour une mobilité Erasmus, car cela m’a véritablement ouvert l’esprit aux possibilités et au monde du travail au-delà de la salle de classe.
Je m’appelle Taïs PLICHART et durant le 1er semestre de ma quatrième année, j’ai participé à une mobilité Erasmus en Belgique dans la ville de Bruxelles à l’école de l’ERG (Ecole de Recherche Graphique). Durant ma 3ème année, j’ai envoyé ma lettre de motivation ainsi que mon portfolio. Un peu plus tard, je devais accomplir toutes les démarches et fournir les documents. Après acceptation, j’ai pu trouver un logement au mois d’août. Enfin en septembre, on m’a confirmé la date de mon départ vers cette grande aventure.
A l’ERG, j’ai choisi comme cours pratique, l’animation et décidé de travailler sur le Stop Motion. Les chapitres animés qui vont suivre, racontent mon expérience.
« En deuxième année, j’ai vécu mon expérience de mobilité à la Escuela de Arte de Oviedo comme une chance de retrouver ma propre identité et de faire face à l’immensité du monde qui s’offrait à moi. Mais aussi une chance d’apprendre sur plusieurs aspects. Au commencement, il était compliqué de s’ajuster aux cours, à la langue et aux nouvelles personnes que j’ai rencontrées. J’ai dû m’adapter et accepter le changement. J’ai pu progresser, explorer mes intentions et comprendre mes motivations.
Être une étudiante Erasmus implique d’embrasser l’inconnu pour en faire une partie intégrante de soi-même.
Mon expérience d’Erasmus a révélé beaucoup de choses en moi que j’avais négligées et refoulées avec le temps. Ce n’était pas seulement le climat qui me perturbait – au début de mon voyage, j’étais une personne, mais à la fin, j’en étais une autre. Ma vision s’est élargie en termes de convictions, d’envies, de rêves et de projets plastiques.
La question de l’identité était la pierre angulaire de mon voyage. J’ai tenté d’explorer ma singularité, et cela s’est avéré être un outil de recherche dans mon travail artistique. L’identité façonne notre personnalité, définit nos préférences, nos centres d’intérêt et notre destin. Parmi tous les Erasmus qui étaient là, j’étais la seule à être originaire des Antilles. […] Même après avoir voyagé, je suis toujours en quête de la définition de l’identité. […] J’ai pu découvrir d’autres techniques comme le fait de travailler en volume avec différents matériaux et eu l’occasion d’explorer la sculpture éphémère ou le modelage / moulage. J’ai été captivée par la manière dont on peut définir une idée en utilisant un large éventail de techniques. En outre, en découvrant la culture et ses pratiques, cela m’a apporté de nouvelles nuances.
On est souvent confronté à des découvertes inattendues ; l’expérimentation s’est imposée comme une nécessité. […] Prendre le temps de partir pour mieux revenir et constater ses erreurs.
J’ai développé de nouvelles aptitudes, telles que celle de créer une relation entre l’objet et l’objectif.
La mobilité Erasmus est un atout tant sur le plan personnel que professionnel. Ma capacité à me déplacer m’a surprise. J’ai également trouvé une force dans la langue. J’ai appris l’espagnol rapidement, même si ce n’était pas une langue totalement étrangère pour moi et cela a renforcé mes capacités de communication ».
Sharna SORHAINDO – jeune diplômée – formation professionnelle (2024)
Stage en batik, Kpalimé, Togo.
« En arrivant à Lomé, la première chose qui m’a choquée, c’est qu’à l’aéroport, alors que je présentais mon passeport à l’agent d’immigration, l’a regardé d’un air très contrarié et m’a demandé “qu’est-ce que c’est” »
Ressenti global du voyage,
« Ce voyage a été un véritable tourbillon ! J’ai été complètement dépaysée, le mode de vie ici n’est pas celui auquel je suis habituée, j’ai donc dû m’adapter rapidement ! Dès le début, tout le monde a été très amical et accueillant, ce qui a facilité l’adaptation. Mes objectifs en arrivant ici étaient d’apprendre une nouvelle technique et de renouer avec le batik et au cours des deux derniers mois, c’est exactement ce que j’ai fait et bien plus encore. Non seulement j’ai appris de nouvelles techniques de fabrication de leurs magnifiques tissus, mais j’ai aussi appris à économiser de l’argent sur la cire en la recyclant et à utiliser la technique de la teinture végétale naturelle. Les cours de couture ont été un énorme bonus auquel je ne m’attendais pas du tout, mais je suis tellement reconnaissante d’avoir eu la chance d’apprendre à confectionner des vêtements. Les conversations, les souvenirs et les liens que j’ai noués avec les filles du centre de batik d’Aklala resteront gravés dans ma mémoire toute ma vie. »
« Je suis étudiant en design graphique au Campus Caribéen des Arts. Après de multiples discussions avec mes professeurs du CCA, il m’a fortement été conseillé de participer au programme Erasmus. A cet instant, mon seul désir était d’obtenir mon DNA et de filer dans le monde professionnel au plus vite. Je n’avais aucune réelle motivation car je voulais arrêter mes études, mais je voulais partir loin pour découvrir de nouvelles choses. En constituant mon dossier Erasmus […] j’ai fini par jeter mon dévolu sur l’Académie des Beaux-Arts de Tournai – ACT, une école qui me correspondait.
[…] L’intégration était assez difficile chez « moi » mais aussi à l’école. Le choc des cultures se faisait ressentir mais après tout, c’était juste nouveau pour moi. Les belges pourtant réputés pour être chaleureux, ne m’avaient à aucun moment donné cette impression de chaleur. »
« […] la Belgique, ce n’est pas que le froid, la pluie et des gens qui disent nonante au lieu de quatre-vingt-dix. […] j’ai aussi réalisé que j’étais quelqu’un d’assez extraverti et j’ai fait beaucoup de rencontres parfois inattendues. Des connaissances, des collaborateurs, des idiots, mais surtout des personnes que je peux appeler des amis.
Je me suis conditionné à ne plus être trop dur avec moi-même, à ne plus me complexer sous prétexte que je ne maîtrisais pas suffisamment certaines techniques, et je me suis surtout conditionné à aimer ce que je créais et à en être fier. »
Nous avons le plaisir de vous annoncer que la rentrée universitaire du Campus Caraïbéen des Arts se déroulera le Lundi 7 octobre 2024.
Pour ceux qui ne sont pas encore inscrits ou qui doivent se réinscrire, la période d’inscription et de réinscription est prévue du Jeudi 12 septembre au Vendredi 27 septembre 2024.
Nous sommes impatients de vous retrouver et de commencer cette nouvelle année ensemble !
Les inscriptions administratives en 1ère année se dérouleront du 4 au 19 septembre 2024.
N.B : Les candidats ayant été admis en 1ère année sur la plateforme ParcourSup recevront par mail un lien qui leur permettra d’accéder à l’espace dédié aux inscriptions administratives pour l’année universitaire 2024/2025
Pour tout renseignement complémentaire, merci de contacter le secrétariat pédagogique à l’adresse suivante : j.lagarde@cca-martinique.com
L’école supérieure d’art de Martinique, connue aujourd’hui sous le nom de Campus Caraïbéen des Arts (CCA), a célébré ses quarante ans le mardi 28 mai dernier. Cet anniversaire a été marqué par l’inauguration de la nouvelle galerie-école du CCA.
La galerie-école est un lieu de diffusion de l’art orienté vers la jeune création. Elle présente également une vocation pédagogique répondant à de nombreux enjeux tenant compte du projet d’établissement et de son ancrage géographique. L’espace sera rythmé par des cycles de conférences, d’expositions, de workshops et séminaires.
Deux expositions sont présentées au public :
– Etre né.e quelque part : il s’agit d’une exposition collective constituée d’une quarantaine d’œuvres d’étudiant.e.s et alumni diplomé.e.s du Campus Caraïbéen des Arts, sous la modalité d’une itinérance visuelle entre la Guyane, la Guadeloupe et la Martinique.
– 40 ans d’histoire : elle prend la forme d’un recueil de témoignages de personnes dont l’histoire personnelle et professionnelle est fortement liée à l’école d’art.
Ces expositions sont visibles jusqu’au 28 juin 2024.
Horaires d’ouverture de la galerie du CCA au grand public pour la période de mai-juin 2024,
La 3e édition de la Biennale Internationale du carton gravé aura lieu du 16 mai au 02 juin 2024 à Avray.
Cette année, la candidature de 7 étudiants du Campus Caraïbéen des Arts a été retenue : Aury Lynch- Candelario, Joniète Rigolet, Camille Desmazon, James Cheleux, Carlyne Blandy, Anna Krastko et Sarah-Carmen Marlin auront la chance de participer à cette exposition d’envergure.
Un nouveau défi pour nos étudiants qui pourront bénéficier d’une visibilité d’un point de vue internationale afin de montrer l’étendue de leur talent.
La thématique de cette Biennale Internationale du carton gravé est « Cartons pluriels ou de l’usage du polyptyque ». Cette édition met en avant la qualité des estampes ainsi que la cohérence des rendus plastiques, en explorant spécifiquement l’usage du polyptyque à travers un ensemble de 2, 3, 4 ou 6 gravures.
Deux prix seront décernés par un jury indépendant lors de l’événement : le Prix de Ville d’Avray et le Prix du Carton Gravé. De plus, Carton Extrême Carton décernera deux Prix « Coup de Cœur » : un pour un artiste français, et un autre pour l’un des artistes étrangers, sélectionnés avec soin par le collectif.
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